13 janv. 2012

Émission audio N°8 avec Jeanne Rousseau au sujet de la baignoire


Dans cette 8e émission audio "EAU: Séance iLive!", il est question de parler de la baignoire hydrospire. 




Jeanne Rousseau, pharmacienne à la retraite et chercheuse indépendante.

En complémént, voici un article écrit par Jeanne Rousseau pour le journal Effervescience en novembre 2008 
http://www.youblisher.com/p/5091-Effervesciences-61/ et une vidéo réalisée par Rodolphe Forget pour illustrer une conférence donnée par Florent Pomier sur la baignoire hydrospire en septembre 2012 aux Journées Toulousaines de l'Eau, organisées par Jean-Yves Gauchet.


Hors des sentiers battus.
Sur les chemins interdits de la Science... par Jeanne Rousseau Docteur en Pharmacie 



Jeanne Rousseau, docteur en Pharma- cie, a travaillé toute sa vie sur l’eau et les résonances cosmiques. Dès les années 40, grâce à un sens aigu de l’observation et à un questionnement juste, cette pion- nière de la recherche s’est aperçue que certaines théories scientifiques officielles n’expliquaient pas les mesures qu’elle relevait sur l’eau. Malgré l’indifférence des sommités de l’époque, Jeanne Rousseau consacra sa vie à la Recher- che dans des domaines jusque-là peu ou pas du tout explorés : une dimension suprasensible interagit sur la matière, l’eau ayant le rôle d’interface. 




            



« Ce n’est pas dans les écrits des hommes, mais au sein de la nature qu’il faut prendre des leçons. » Max Stoll

A diverses reprises, en différents articles antérieurement parus ont été soulignées les divergences existant entre les conceptions scientifiques actuelles officiellement admises et les conclusions résultant d’observations longuement suivies des mécanismes de la nature et des rythmes propres aux milieux vivants.

Sur ce plan, la technique bio-électronique de Louis- Claude Vincent, que personnellement j’ai beaucoup utilisée, ne saurait cependant être seule mise en cause, car les sujets précités ont aussi fait l’objet de travaux d’observation, de maints autres chercheurs de différentes origines, travaux suivis de publi- cations, parfois fort lointaines, le tout étant tombé dans l’oubli le plus total.

L’objectif du présent article n’est aucunement de revenir point par point sur les problèmes précédemment traités, mais simplement d’y ajouter quelques aspects non signalés, et qui ne peuvent qu’en confirmer ce qui fut dit, et souligner les carences qui marquent l’actualité.

L’eau, une nouvelle fois, constitue notre point de départ, pour la simple raison qu’elle conditionne par sa présence la possi- bilité d’existence de toute forme de vie sur notre planète : il n’y a pas de vie sans eau. Le rôle de simple solvant ou d’élément de dilution qui lui est attribué ne suffit cependant pas à justifier le caractère indispensable de sa présence ; voyons les choses sous un autre angle en nous reportant aux travaux de Charles Laville (2).

La neutralité d’une substance, quel que soit le nombre de ses composants, implique nécessairement une équivalence des charges positives et négatives de ses éléments constitutifs ; l’eau H2O des chimistes, ne fait pas exception à la règle : elle comporte un facteur positif : H+, asso- cié à un oxydrile négatif : OH- ; la formule réelle étant donc : H OH ; c’est un corps ampholyte, que nous dit Chales Laville. « Sous l’action de la lumière serait capable de fonctionner comme pile moléculaire, aux pôles de laquelle se produiraient les réactions ordinaires d’électrolyse, avec libération de H et de O. Ainsi, l’eau se pré- sente comme le catalyseur type, permettant à l’organisme d’accomplir ses synthèses et ses analyses chimiques. Il ne semble guère possible de ne pas tenir compte de telles indications, lorsqu’on examine les problèmes relatifs aux diastases et aux divers biocatalyseurs des êtres animés.»

Venons en maintenant aux observations relevées sur les eaux et pluie et de source, et de même sur les milieux vivants. L’aspect de bipolarité précédemment évoqué se retrouve en maintes circonstances : variations extrêmes et opposées du pH des sols et des eaux lors des séismes : alcalose préliminaire suivie d’un effondrement vers l’acidose ; à une échelle bien moindre, schéma identique sur le plan urinaire lors des crises douloureuses aigües de l’organisme humain, les sédiments urinaires passant du phosphate ammoniacomagnésien lors de l’alcalose, aux urates alcalins lors de la chute du pH vers l’acidose, ceci précédant à un retour à la normale, dépourvu de sédiments ; évolution inverse et simultanée du pH salivaire vers l’alcalose, et du pH urinaire vers l’acidose lors de douleurs stomacales, le tout suivi du retour à la normale lors de la cessation des douleurs, tout ceci ayant été développé et illustré de graphiques dans des articles antérieurement parus.

Notons au passage que cette multiplicité d’aspects bipolaires n’est pas sans évoquer le processus des états successifs de la digestion : insalivation lors de l’absorption des aliments, acidification par le sucgastrique dans l’estomac, suivie après expul- sion d’une alcalinisation par la bile, tout ceci précédant, d’une part l’assimilation des éléments utiles, et d’autres part l’excrétion des déchets. L’utilisation de la technique bio-électronique, à partir de 1956, tout en confirmant ce qui avait été relevé antérieurement, vint ouvrir un autre champ d’action, qui rejoint en tous point les travaux et remarques de Charles Laville.

En 1957, lors d’un séjour à Font-Romeu, fut mise en parallèle l’étude quotidienne de quatre sources : deux d’entre elles, considérées comme miraculeuses, avaient un pH égal à 7 (variant de 8,95 à 7,05 suivant les phases lunaires), le pH des deux autres oscillant de part et d’autre de 6,5 ; de rH2, dans les quatre cas, variait de façon à peu près identique selon les phases lunaires. Lors du solstice d’été (rappelons que 1957) était une année de maximum d’activité solaire) se produisit brusquement un fait inattendu, pour les deux sources de pH égal à 7, pendant trois jours, la résistivité électrique ne fut pas mesurable : l’aiguille du bio- électronimètre se déplaçait lentement et régulièrement, en aller et retour d’une extrémité à l’autre du cadran, sans jamais se fixer, quelle que soit l’heure du jour ; au quatrième jour, tout redevint normal ; cependant ces trois jours, les deux autres sources avaient marqué de fortes variations des potentiels, le tout restant mesurable sans problème.

L’équivalence des charges ioniques positives et négatives s’avérait un facteur déterminant, conférant à l’eau des par- ticularités qui ne se manifestaient pas en circonstance normale.
La même expérience fut reprise lors du solstice d’été 1958 ; il y eût des variations des potentiels dans les quatre cas, le tout restant mesurable ; le maximum d’activité solaire était dépassé ; nous retrouvons ici les remarque de Charles Laville.
L’équilibre acide-base, inversion des polarités lors d’un pH égal à 7, confère à l’eau des particularités qui ne deviennent manifestes que si cette eau est soumise à une intensité hors nor- mes du rayonnement qu’elle reçoit ; tout ceci conduisant à se poser des questions sur les eaux pluviales, recueil- lies lors des orages. L’eau de pluie, prélevée lors des averses en
de telles circonstances est dotée de potentiels pH et rH2 exacerbés (alcalose et oxydation) ; au point de vue résistivité électrique, elle présente une rigoureuse identité avec le fait initialement relevé à Font Romeu ; l’impossibilité de mesure dure environ deux heures, après quoi elle se fixe aux environs de 40 000 ohms, là ou les valeurs généralement re- levées sont de l’ordre de 20 à 25 ohms. 

Sans prétendre rivaliser avec la puissance des forces vives de la nature, il n’est pas interdit pour autant d’essayer d’en comprendre les mécanismes, surtout s’ils s’avèrent susceptibles d’avoir une utilité ; d’où la tentative de coordination de l’ensemble des remarques et observations ci-dessus énumérées.

Le déclenchement de la douleur, chez les êtres vivants, met en évidence la co-existence de potentiels ioniques excessifs, négatifs d’une part, positifs de l’autre, lesquels, parvenus à un certain stade d’intensité, déclenchent, au moyen de spasmes un mécanisme d’expulsion, tendant à normaliser le milieu dont ils proviennent ; l’étape de ce déclenchement fut manifestement précédée de la co-existence de polarités d’intensités croissantes, inaptes jusqu’à un certain niveau à réagir efficacement ; cette possibilité de co-existence témoigne d’un disfonctionnement entre eau libre et eau liée, au niveau de l’immense réseau des membranes cellulaires, ce disfonctionnement pouvant affecter de façon plus spécifique tel ou tel organe, ceci restant fonction des facultés de résistance individuelle des êtres concernés, et de même d’un ensemble de conditions de vie, qui, par les temps actuels, s’avère fortement dégradé.

Nous retrouvons ici, sous une autre forme, l’éclair des orages, qui précipite sur terre une eau de pluie aux potentiels exacerbés (alcalinistion et oxydation), douée cependant, à titre temporaire, d’une faculté de transformation de la matière, concrétisée par l’évolution de la résistivité électrique, spectaculaire par rap- port aux normes habituelles ; rappelons pour mémoire l’ouvrage édité par André Guillaumin et les scientifiques du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris, relatant qu’il fut un temps où, après les averses, les jardiniers récoltaient dans leurs al- lées de petits nodules de la grosseurs d’une noix qu’ils rejetaient comme fertilisant sur les parcel- les cultivées : il s’agissait d’algues bleues : les Nostocs, nées des cir- constances, au contact du sol et sous l’action d’une structure de l’élément liquide, structure susceptible de se concrétiser sous la forme d’une algue.

Revenons maintenant à l’étude des sources ; quelle que puisse être l’opinion de chacun vis à vis des religions, croyance ou suspicion, le miracle est un fait dont on ne peut nier l’existence ; il retint d’ail- leurs l’attention d’Alexis Carrel, qui consacra un ouvrage concernant Lourdes ; ce même auteur réfléchissait aussi aux possibilités diverses d’évolution de la méde- cine. Les deux sources de Font-Romeu étaient des sources froides : 4° centigrades à l’émergence, l’eau avait un pH égal à 7, comme il fut dit précédemment, et la résistivité électrique de l’ordre de 20 000 ohms, pouvant parfois atteindre 25 000 ; notons au vérifiables : les deux sources sont taries, l’une d’elles ayant été discrètement raccordées au service d’eau, afin de ne décevoir ni les croyants, ni les touristes.

C’est de cet ensemble d’observations, qui de prime abord peut sembler hétéroclite, que naquit la baignoire Hydrospire, construite par Eric Tison.

La coordination des éléments relevés conduit à la réalisation suivante : il s’agit de provoquer, au moyen de deux rotors, au sein d’une masse liquide froide (14 à 16 ° lors des essais), un courant d’énergie bipolaire, suscité par une rigoureuse identité des vitesses des rotors, courant dont le rythme normal de vie de l’utilisateur, afin de susciter, au niveau de l’immense ré- seau des membranes cellulaires, le réflexe éliminatoire des déchets qui encombrent l’organisme, et entravent le libre échange entre eau libre et eau liée. Rappelons au passage qu’au niveau des pores de l’épiderme le système lymphatique est un système ouvert, apte à transmettre à l’ensemble d’un organisme le flux énergétique qu’il reçoit lui-même directement.

Afin de ne contrarier en rien le développement des tourbillons, l’ensemble de la construction ne doit comporter aucun angle droit ; soulignons ici qu’un tourbillon est en lui-même un élément bipolaire, et que l’orientation de cette bi- polarité est tributaire du sens de rotation de l’ensemble du tourbillon, qu’il est donc essentiel de ne pas perturber.

Le nombre de pales de chaque rotor est fixé à six, respectant ainsi les normes de structures des cristaux de neige. Le patient, assis dans la zone médiane entre les deux rotors, dont la vitesse de rotation est de 90 tours/minute ; donc supérieure à 72, rythme du cœur humain, se trouve ainsi soumis, pendant la durée du bain, fixée à trois minutes, à une onde de choc, onde bipolaire, créatrice d’une zone d’énergie iso-électronique, née du mouvement de l’eau. 

De cette action ont manifestement résulté des réflexes éliminatoires, variables selon les cas : urinaires pour les uns, intestinaux pour les autres, et plus exceptionnellement cutanés, comportant un bref accès fébrile avec transpiration, ou légère éruption de rougeurs, disparaissant dès le lendemain ; ces réflexes sont en générale rapides, pouvant survenir dans la nuit qui suit le premier bain, ou dans un délai de trois ou quatre jours.

Aucune réaction d’intolérance ne s’est manifestée, et bien des messages de satisfaction me sont parvenus ; l’expérience ne fut cependant que de courte durée, l’interdiction du Conseil de l’Ordre, dont les avis ont en France force de loi, vint mettre un terme à toute possibilité d’étude et de développement de la technique nouvelle.

De toute évidence, la technique axée sur un déclenchement de réactions éliminatoires s’avère dépourvue de spécificité sur le plan thérapeutique ; comme telle, elle ne peut s’intégrer dans la spécialisation outrancière des sciences qui marque l’actualité - la médecine sur ce point n’étant d’ailleurs pas seule en cause - cette spécialisation, dès le stade de l’enseignement, crée un conditionnement de l’esprit, qui devient inapte à concevoir ou percevoir une globalisation des mécanismes de la nature et de la vie, tout aspect de synthèse étant dès lors exclu.

Or la baignoire Hydrospire naquit de constations relevées sur des milieux très différents : - co-existence de potentiels d’énergie excédentaire aux polarités inverses lors du déclenchement de la douleur dans un organisme humain. - Equipotentialité ionique des sources miraculeuses, avant que le service d’eau ne leur soit substitué, - Constatation des particularités des eaux pluviales sous l’éclair des orages, conduisant à une régénération de l’élément liquide, pouvant s’accompagner de la création, au sein d’une masse liquide, d’une zone bipolaire, générée par le mouvement de deux tourbillons, évoluant en sens inverse à une même vitesse. - Nous n’aurons pas évidemment ici une bipolarité d’origine ionique, mais une bipolarité d’origine mécanique, créant une zone iso-électrique, générée par le mouvement.

De toute évidence, l’erreur faite au stade de départ fut de n’avoir pas quitté la France, pays où toute vérité qui dérange s’avère passible de sanctions ; l’infaillibilité, par contre, reste l’apanage exclusif d ’ organismes officiellement qualifiés, ce qui n’est pas le cas de l’association Bio-électronique, bien qu’elle ait pris, grâce à Roger Castell une extension non prévue au départ.

N’ayant pas à épiloguer davantage sur le sujet traité et ce qu’en furent les conséquences, je m’en remets aux écrits de Descartes, pour formuler une conclusion :
« Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opi- nions que l’on a reçues, pour reconstruire de nou- veau, et des les fondements, tous les systèmes de nos connaissances... A ce stade, il n’est ni dogme ni théorie qui ne tiennent, et chaque pas effectué dans la progression de la connaissance, ne permet que de mieux mesurer l’étendue de ce que l’on ignore. »


Jeanne Rousseau 






10 janv. 2012

MULTIPLEX spécial "Boire de l'eau empêche t'il la déshydratation?"


 

Dans ce premier podcast sous forme "MULTIPLEX", la question qui est demandé à nos "experts" : Boire de l'eau empêche t'il la déshydratation?
Question simple en apparence mais finalement très complexe (comme toujours avec l'eau) quand on essaye d'y répondre. À vous de voir!!!!

        



Dans la première partie du podcast il est expliqué les bases "connues" d'une hydratation par l'eau liquide et le fonctionnement politiques des institutions européennes en charges de prendre des décisions sur la question alimentaire des européens. 
Dans la 2e partie, il est question de répondre au plus juste à ce qu'est une hydratation.

Rodolphe Forget du site nature-film.com convie autour des micros de "ESI mensuel" (nom du podcast en Janvier 2012) trois intervenants reconnus dans leur domaine respectif afin de répondre le plus juste possible. Marc Henry, chimiste. Yann Olivaux, auteur du livre «La nature de l'eau» et Maxence Layet, journaliste scientifique forment l'équipe de ce premier "ESI mensuel".
Source de l'article ci-dessous: http://fr.sott.net/article/6081-L-eau-ne-permet-pas-de-lutter-contre-la-deshydratation-selon-Bruxelles
"Après 3 ans d'enquête, les officiels de l'Union Européenne viennent de conclure qu'il n'était pas prouvé que l'eau pouvait prévenir la déshydratation. En conséquence, ils viennent d'émettre un texte de loi qui interdit aux industriels de faire figurer cette assertion sur les bouteilles d'eau minérale ou d'eau de source. Les contrevenants s'exposent à une peine de prison de 2 ans."
Lors d'une réunion qui s'est tenue à Parme, en Italie, 21 scientifiques ont conclu qu'une quantité d'eau réduite dans le corps était un symptôme de déshydratation, et pas quelque chose que la consommation d'eau pouvait contrôler a posteriori.

« J'ai dû relire ceci 4 ou 5 fois avant de pouvoir le croire », explique Paul Nuttal, un député britannique. « C'est un parfait exemple de ce que Bruxelles fait de mieux. Passer 3 ans, avec 20 pièces séparées de correspondance, avant de convoquer 21 professeurs à Parme pour qu'ils décident avec grande solennité que boire de l'eau pour prévenir la déshydratation ne peut pas être un argument de vente ».

« L'euro brûle, l'UE tombe en morceaux, et pourtant, voilà : des officiels hautement payés et dotés de pensions de retraite confortables remettent en cause les qualités évidentes de l'eau et essayent de nous retirer le droit de dire ce qui est indiscutable. Si jamais un épisode a démontré la folie du grand projet européen, ce devrait être celui-ci », a tonné Roger Helmer, un autre député britannique.

Sans doute le professeur Brian Ratcliffe, porte-parole de la Nutrition Society, ne partage-t-il pas son point de vue. Il a rappelé que la déshydratation était causée par des conditions cliniques et qu'il était parfaitement possible de rester correctement hydraté sans boire de l'eau. « L'Union Européenne dit que cela ne réduit pas le risque de déshydratation, et elle a raison. Cette assertion essaye de faire valoir que l'eau en bouteille est dotée de propriétés particulières, ce qui n'est pas une assertion raisonnable ».

4 janv. 2012

Émission audio N°7 avec Yann Olivaux (l'eau et la santé)


Cliquez ici pour écouter l'émission audio avec Yann Olivaux, auteur du livre de référence "La nature de l'eau".

Dans cette septième émission audio "EAU: Séance iLive!", il est question de parler de l'eau et de la santé.


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