Je tenais à vous informer que je ne faisais plus de vidéos ou d'articles pour le podcast EAU SéANCE iLive.
Mon approche de l'eau est aux antipodes de la vision scientifique de l'eau, au fil du temps je sentais qu'il m'était de plus en plus difficile d'interviewer des gens qui ont justement comme référence "sérieuse" la science pour s'exprimer sur le sujet de l'eau. Un exemple parmi tant autre ! Entendre que l'eau c'est H2O de la part d'un vendeur (et/ou concepteur) d'une eau de boisson modifiée est devenu intolérable pour moi. Ce n'est pas la faute du vendeur car il est bien obligé de citer la science pour crédibiliser son système au près du public, mais c'est que ma compréhension de l'eau a changé. Si toutes les eaux avaient la même formule chimique pourquoi se demander quelle eau boire ? Ça n'a pas de sens, ou plutôt ça n'avait plus de sens pour moi. Et si l'eau n'est pas H2O alors la molécule d'eau ne peut pas exister.
C'est dommage car il y avait moyen de développer ce podcast, il existe des tas de gens ou d'activités sur le sujet de l'eau à traiter mais ma relation avec l'eau est bien trop importante.
Tout d’abord, écrire (ou lire) sur l’eau, c’est faire une expérience troublante pour notre mental si prompt à la perfection. Pourquoi ? Il suffit de remarquer notre confusion quant à l’utilisation simple du mot « eau » dans notre quotidien. En effet, ce mot désigne à la fois un mélange aqueux (rivière, eaux de boissons, sueur, etc) et une molécule (H2O). Comme si nous sentions, instinctivement, une dysharmonie à séparer l'échelle macroscopique de l'échelle nanométrique. C’est à se demander s’il est intellectuellement concevable d'écrire sur le sujet de l’eau, voire même s’il est correct de nommer et/ou de catégoriser ce qui est de l’ordre de l’indicible. Après tout, nous sommes composés, selon les biologistes, à 99% d’eau, en nombre de molécule. N’y aurait-il pas une relation de cause à effet ?
Il y a plusieurs raisons d’expliquer ce trouble. Une d’elle, selon moi, c’est que le fait d’écrire (ou lire) sur l’eau, amène l’individu à concentrer son attention sur la materia prima de son incarnation autrement dit la Vérité (ou la Quintessence). Pourquoi ? Car l’incarnation est ou n’est pas, il n’y a pas de demi-incarnation. C’est un fait immuable qu'aucune théorie savante ne peut remettre en cause. Tout comme le présent, puisque nous sommes à chaque seconde dans l’inconnu. L’eau par son mouvement permanent est intrinsèquement dans le présent. Étudier avec rigueur l’eau, oblige donc notre mental à réfléchir autrement et tout le temps jusqu’à se « cogner » à quelque chose de plus grand que lui (l’indicible). Une telle prise de conscience assèche la peur (de mourir) et permet à l’ordre existentiel originel de reprendre sa place dans le champs de conscience de l’individu. Nous appelons cela l’humilité.
Écrire (ou lire) sur l’eau, c’est engrammer une action vertueuse dans notre conscience dont il est difficile de prévoir l’enrichissement métaphysique qu’elle va réveiller dans celui ou celle qui initie une telle démarche. Pourquoi ? Car écrire sur le sujet de l’eau oblige le mental à poser un regard aimable sur ce qui unit tout le vivant puisque chaque organisme biologique est composé majoritairement d’eau. Le mental qui base son « existence » sur ce qu’il le différencie de l’autre, se retrouve bien bouleversé de tant similitude avec son environnement. Si le mental de celui qui écrit ou réfléchit sur le sujet de l’eau est honnête avec lui-même et que sa démarche est effectivement de comprendre le fonctionnement sous-jacent de la vie, alors il n’a pas d’autres choix que d’envisager sa vision du monde d’une toute autre manière où la hiérarchie existentiel entre les êtres n’existe pas, et il peut alors « voir » l’invisibilité de l’eau qui fédère le vivant dans un Tout indicible, la matrice.
Description: la sagesse est la connaissance du soi (et donc du mécanisme de l’égo). Cette recherche disciplinée et rigoureuse qui incombe à tout être humain est un préalable obligatoire pour vivre l’amour. Comment cela se traduit-il concrètement ? Par la vision du soi, la conscience se vide alors de sa totalité (pensées, images, peurs, représentations) et laisse place à la vacuité c’est-à-dire à la liberté à être (amour). Si la conscience demande à se vider c’est qu’elle s’est remplie tout comme nous pourrions le dire d’une carafe et de la matière liquide composée à 99% d’eau. Rares pourtant sont les personnes ayant encore fait le lien entre l’eau (99% d’un corps humain) et l’amour. C’est ce que nous vous proposons dans ce dossier N°12. Aussi merveilleux soit-il, là où l’eau remplit (arbre, animal, ruisseau, humain), l’amour s’exprime. Orienter son attention vers ce qui relie (eau) autant que ce qui différencie (informations du vivant) nous donne accès, de fait, à la matrice et la vision de la non-dualité, c’est-à-dire l’absence de conflit intérieur qui mène à la fin durable du conflit extérieur (guerre). Cela demande à voir les choses avec simplicité afin de passer du rêve à l’émerveillement de la réalité de notre quotidien pour que la beauté nous apparaisse telle qu’elle est c’est-à-dire omniprésente. Et qu’est-ce que la beauté sinon l’absence du soi.
"Amour" by RO.F photographie
Par Rodolphe Forget (extrait):
Observation. À l’instar de l’eau, l’amour est vivant. Nous pouvons le voir simplement en retirant le u à « l’amour » cela nous donnerait « l’amor » et donc la mort. Nous pouvons ainsi émettre l’hypothèse que notre souffle de vie tient à notre connexion avec le U c’est-à- dire l’Univers (ou l'Unité). Dès que cette connexion verticale (âme, lumière) se retire c’est la mort (biologique). Que l’on peut d’ailleurs entendre de la manière suivante « l’âme- hors » (du corps) et même « l’âme-or ». L’amour doit alors être observé, et non analysé, car seule une chose morte est analysable. On ne dissèque pas ce qui est vivant. Nu. Nous naissons nus. Le mot « nu » inversé nous donne un (unité) et « nus » donne « sun » qui en anglais signifie soleil. Comme le corps est composé principalement d’eau (99%), nous avons dès lors une base suffisante pour observer la relation étroite de l'eau et de l'amour. Silence. C’est évidemment le son commun de l’amour et de l’eau. Sous réserve que l’on ne réduit pas l’eau à sa présence au mélange liquide de nos robinets ou de nos rivières. Les processus biologiques se déroulent tous dans le silence, l’obscurité et la lenteur.
Par Rodolphe Forget (extrait):
"Aimer. Aimer « amoureusement » n’est donc pas l’amour. Le sentiment d’aimer enclenche mécaniquement la sélection d’un être humain parmi toute l’humanité, alors que l’amour n’est pas sélectif puisqu’il est Un. À l’instar de l’eau, qui remplit minutieusement chaque corps humain sans distinction. Nous confondons ainsi le sentiment d’amour (affection, attirance, désir) avec l’amour. Cette confusion nous est dommageable car elle nous laisse dans une léthargie qui deviendra jour après jour notre prison ouverte, où nous passerons notre temps à souffrir de ne pas jouir de la félicité que l’eau de notre corps appelle de ses voeux. C’est d’ailleurs ce qui explique que dans la si sage langue française, il n’existe pas de verbe pour l’amour. Car celui-ci ne peut pas venir d’une action volontaire de notre part mais d’un lâcher-prise, inspiré justement de l’eau de notre corps. Aimer et le verbaliser, c’est nous extirper de la plénitude, c’est-à-dire du mélange que l’on appelle Vie. Nous ne sommes donc pas libre quand nous aimons. Nous sommes en proie d’ailleurs à de multiples concessions qui sans elles empêcheraient ce que nous appelons « couple ». Aimer, à vrai dire, n’est qu’un fabuleux outil de géolocalisation fonctionnelle pour nous extirper de la masse émotionnelle de notre conscience consacré au désir."
Ce dossier a pour vocation à donner le point de vue complet de la science moderne sur cette formule H2O, qui devrait rester ce qu'elle est, c'est-à-dire un jargon technique entre scientifiques Il en effet choquant de voir cette formule sortir des laboratoires et être utilisée comme définition de l’eau par tout un public non formé aux subtilités de la science. Ceux qui ne sont pas intéressés par le point de vue scientifique pourront consulter ce lien montrant comment l’eau est perçue par des poètes ou des artistes, avec en prime une analyse originale faisant appel à l’outil du « nuage de mots » et où l’on montre que personne ne peut à lui seul cerner toute la complexité de cet élément que l’on appelle l’eau.
Par Marc Henry (extrait) :
"L'écrivain David Herbert Lawrence (1885-1930) a osé l'écrire en 1929: L'eau est H2O, deux parts d'hydrogène, une d'oxygène plus une troisième chose qui fait que l'eau est l'eau et que personne n'a pu encore identifier» (Pansies). Le truc, c'est que comme personne ne sait exactement en quoi consiste ce troisième élément, on ne retient que les deux premiers, eux bien identifiés vers la fin du dix-huitième siècle. La saga époustouflante ayant aboutit à cette fameuse formule H2O est résumée sur cette page web et aussi illustrée à l'aide de cette vidéo. Pour résumer la chose, avant Lavoisier les choses étaient simples: l'eau était l'eau, un élément, une unité indissociable pouvant prendre de multiples formes avec des propriétés différentes selon la forme adoptée par l'eau. Après Lavoisier, tout se complique car l'eau est maintenant faite de deux choses plus simples, hydrogène et oxygène qui, pris séparément, n'ont aucune des propriétés de l'eau mais qui, réunis intimement, ont bien les propriétés de l'eau."
Par Marc Henry (extrait) :
"Comme on l'a dit au début de ce document, il y a dans 18 g d'eau autant de molécules H2O que d'étoiles danstout l'univers. Admettons qu'un domaine de cohérence contienne 1 million de molécules H2O. Cela signifie alors que dans 18 g d'eau on trouve environ 10 millions de milliards de domaines de cohérence. Du mal à visualiser ce chiffre? Alors songez, que cela correspond à peu près au nombre de bactéries que véhicule un corps humain, où si vous préférez à 10 fois le nombre total de toutes vos cellules réunies! Ou encore, si l'on assimile l'œil humain à un appareil photo, au nombre de pixels que vous verrez durant toute votre vie humaine... Tout ça tient dans 18 g de cette substance que certains scientifiques osent encore appeler H2O et que le grand public prononce "achedeuzo" sans trop savoir pourquoi. Heureusement maintenant vous savez que ce que l'on appelle "eau" est quelque chose de trop complexe pour être représenté par une formule chimique, où alors il faudrait de dizaines de milliers de pages pour représenter la formule correspondant à un seul domaine de cohérence. Il est donc temps de faire exploser la formule H2O comme Rodolphe Forget l'a bien montré dans son célèbre clip Britanicum. Bienvenue dans le véritable monde de l'eau..."
L'eau dit "liquide" est devenue au fil du temps un objet banal et notamment par le confort dans lequel une partie de l'humanité se complait. Mais grâce au talent d'architecte d'intérieur, cette matière liquide redevient fantaisie le temps d'une douche...
À bien y regarder, la chevelure des femmes, généralement longue, peut être perçue comme un écoulement lent (dont la vitesse correspond à la repousse des cheveux) du haut du crâne que l’on appelle « fontanelle » vers le bas du dos (appelé « bassin »).
Hoàng Phuong Lan, la plus longue chevelure au Vietnam
À l'occasion de la mise en ligne (Juin 2015) du dossier N°11 "L'eau et les femmes" écrit par Rodolphe Forget, nous vous proposons différentes inspirations artistiques (photos, dessins ou peintures) pour découvrir le lien entre l'eau (liquide) et les femmes.
Comme nous l'avons déjà vu, il est bien difficile de filmer la matière liquide que l'on nomme "eau liquide" à moins d'y trouver un intérêt périphérique. Depuis des années que je collecte des photos avec de "l'eau", j'ai remarqué un fantastique talent de beaucoup photographes exerçant leur passion de la photo à proximité des spots (lieu qui offre des conditions permettant le surf). Dans cet article, je vous propose de (re)découvrir des photos et des visuels à propos du surf et donc de "l'eau".
Le magazine Santé Naturelle m'a demandé de me pencher sur l'eau et le bien-être. J'ai écrit pour cela un court texte pour répondre à leur demande.
Photo- John Wilhelm is a photoholic
La vie, c’est de l’eau et du mouvement. Comprendre cela, permet l’autonomie psychologique au quotidien. Effectivement, plus nous prenons le temps de faire quelque chose d’essentiel, plus nous sommes connectés au sacré. À l’inverse, plus nous allons vite et moins nous sommes dans le rythme de l’éternité et par conséquent, moins nous consacrons de temps au sacré. La sédentarisation a nécessité le confort et désacralisé petit-à-petit les choses essentielles. Dans le cas d’une population sédentaire, c’est le mouvement exogène (besoin du corps de la femme) qui est privilégié et en l’occurence les émotions. La conséquence de ce mode de vie va être de vivre dans une société de plus en plus rapide et masculine (technologie) au sein de laquelle le sacré est difficilement compatible. La vitesse alimente l’impatience et la surconsommation de « durées » (drogue, sexe, alcool, divertissements) toujours plus nombreuses, plus fortes en sensation et plus rapide à recevoir. De fait, le mal-être est fréquent. Nous cherchons donc le bien-être (autrement dit « être »). Qu’est-ce que le bien-être? Une connexion consciente à l’inconscient collectif c’est-à-dire au Tout, au divin. Qu’est-ce qui nous relie concrètement à cette totalité? L’eau, puisque sur Terre tout ce qui est vivant en est composé majoritairement. L’eau et « être » sont donc bien liés. Pour bien comprendre l’importance de ce qui se dit là, il est utile de se rappeler que l’eau n'est pas la matière liquide à laquelle nous l’identifions mais quelque chose de bien plus vaste en réalité.
Effectivement, l’eau est un Élément divin, invisible à l’oeil nu, qui prend la couleur, la forme, l’odeur, le son de ce dont avec quoi elle est mélangée (homme, arbre, rivière). Et comme elle est toujours en mouvement afin de permettre les interactions entre les individus (et donc la vie qui est lien), nous nous retrouvons entrainer par des perturbations déséquilibrantes (émotions) dû à l’action constante et régulière de notre mental qui prend ses informations à l’extérieur d’où il se différencie. Le bien-être consistera à utiliser son identité « eau » qui est commune avec l’environnement (le Tout) pour retrouver la sérénité intérieure ou l’équilibre. Le fameux état « zen » associé à l’eau dit « liquide» justement. Il n’y a pas de hasard!