Nous continuons notre voyage auditif au pays de l'eau liquide. Cette fois-ci, l'eau liquide est la seule artiste qui crée le son. Il s'agit d'une série de son à la fois familier mais qui sont devenus rares à nos oreilles du fait de notre choix de préférer la vie citadine entre 4 murs. La relaxation que provoque le son de l'eau ne peut qu'interpeller comme si elle nous rappeler que nous étions de l'eau. La vibration de la musique nous rassure et donc nous relaxe car on ressent la familiarité.
16 nov. 2013
11 nov. 2013
La "mémoire de l'eau"
Jacques Benveniste a écrit un livre sur le sujet:
Luc Montagnier, prix Nobel 2008 de médecine, a estimé qu'un vaccin thérapeutique du sida pourrait voir le jour dans "quatre ou cinq ans". Une petite phrase et la presse s'emballe. Pourtant, en 2007, il avait annoncé quelques découvertes surprenantes qui tendaient à confirmer la théorie de la "mémoire de l'eau". Détonnant... Mais la presse n'avait pas alors jugé utile de s’emballer... Un trou de mémoire, peut-être ?
Deux chercheurs aux destinées uniques
Le professeur français Luc Montagnier, à l'origine de la découverte du rétrovirus du sida il y a 25 ans, a reçu cette année la récompense ultime du prix Nobel de médecine, partagé avec Françoise Barré-Sinoussi. Une fierté nationale saluée comme telle. On utilise même son nom, aujourd'hui, pour justifier de la retraite à 70 ans. Respect. De l'autre côté de la force, Jacques Benveniste, biologiste et chercheur régulièrement cité dans les classements des plus grandes... arnaques scientifiques de l'histoire, au titre de sa découverte controversée de la "mémoire de l'eau".
Quand la "mémoire de l'eau" refait surface
Quand le premier, porté aux nues, déclare qu'un vaccin thérapeutique du sida pourrait voir le jour dans "quatre ou cinq ans", la presse ne se prive pas de saturer les ondes pour diffuser la bonne parole, tant il est vrai qu'il s'agit d'une annonce majeure. Mais pour faire bonne mesure, il faudrait aussi signaler une conférence au cours de laquelle ce même génie de la science avait rendu un hommage posthume très appuyé à son collègue pourtant banni et discrédité, en octobre 2007. Cet hommage, s'il n'a aucune valeur scientifique, prend une toute autre saveur lorsque l'on étudie son contenu, particulièrement épicé en révélations : Luc Montagnier a en effet remis la "mémoire de l'eau" au goût du jour... Pas moins.
L'émission ci-dessous est datée du 5 Juillet 2014 avec Luc Montagnier et Marc Henry.On a retrouvé la mémoire de l'eau ! avec le... par conscience33
Écouter l'émission sur RTL du 11 Juillet 2014 consacré à Jacques Benveniste et à la mémoire de l'eau.
Cliquez sur ce lien: http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/la-memoire-de-l-eau-7773173385
À NOTER: cet article de novembre 2013 titré
Une étude ébranle un pan de la méthode scientifique:
Y a-t-il quelque chose de pourri au royaume de la science ? La question, un brin provocatrice, est néanmoins d'actualité depuis quelque temps, depuis que se multiplient les travaux dénonçant la difficulté que des chercheurs rencontrent souvent à reproduire les résultats publiés de leurs collègues (voir aussi ici). Or la reproductibilité des expériences est une des clés de voûte de cette grande aventure collective qu'est l'entreprise scientifique. Toute la recherche est fondée sur la possibilité de vérifier, de valider ce qu'ont entrepris les autres, de mettre à l'épreuve leurs hypothèses, leurs protocoles, leurs analyses. Ne pas parvenir à retrouver ces résultats, comme c'est manifestement de plus en plus fréquent dans des domaines aussi divers que la recherche biomédicale, la psychologie, la génétique ou les neurosciences, c'est saper la crédibilité de ces recherches et, plus largement, de la science. C'en est au point que la détection des erreurs méthodologiques, biais et autres fraudes scientifiques est devenue une discipline à part entière et qu'un site Internet, Retraction Watch, tient le journal des études retirées pour une raison ou pour une autre !
Parmi les causes, énoncées ci-dessus, du phénomène de non-reproductibilité, il s'en trouve une, mal mesurée, qui pourrait surpasser toutes les autres et qui tient à l'aune statistique à laquelle on juge les résultats d'une étude. Pour résumer grossièrement, un article scientifique rend compte d'une expérience, détaille les données recueillies et identifie un phénomène. Afin que la découverte soit jugée valable par la communauté scientifique, il faut éliminer la possibilité d'un faux positif, c'est-à-dire le fait qu'autre chose que l'hypothèse testée ait produit l'effet mesuré. Et, dans ce processus de validation, l'alpha et l'oméga de l'analyse statistique s'appelle la "valeur p". Dans la plupart des disciplines du vivant, le Graal consiste à obtenir une valeur p inférieure à 5 %, seuil sous lequel on estime que l'effet mesuré est significatif, donc avéré.
Lire la suite en cliquant ici
LA MEMOIRE DE L’EAU ! from Biscuit Studio on Vimeo.
10 nov. 2013
Les hautes dilutions, mythes ou réalités?. - par Marc Henry, chimiste. - conférence enregistrée en septembre 2013.
Une partie de l'enregistrement audio de cette conférence vous est proposé gratuitement sur Youtube.
La conférence est disponible en intégralité avec vidéo du conférencier et toutes les diapositives en VOD ou DVD
Toute l’idée de la doctrine homéopathique repose sur le principe, «Similia Similibus
Curantur...», énoncé dès 1810 par le médecin Samuel Hahneman (1755-1843) dans son
«Organon der Heilkunst». Pour appliquer ce principe à des produits extrêmement toxiques,
voire mortels, il est impératif de diluer le principe actif jusqu’à sa disparition totale.
Hahneman avait aussi remarqué que secouer violemment les solutions entre chaque dilution
améliorait considérablement l’effet thérapeutique. Enfin, grâce aux travaux du biologiste
Jacques Benvéniste (1935-2004), on sait que l’action homéopathique disparaît si l’on
remplace la succussion par un traitement aux ultrasons. Ce chercheur avait aussi noté qu’il
ne fallait pas congeler les solutions ni les chauffer au-delà de 70°C. On sait aussi qu’il est
indispensable que de l’oxygène soit présent dans l’atmosphère entourant les solutions et
que les champs magnétiques doivent être bannis de l’environnement immédiat. Réduire le
problème que pose l’homéopathie à la sagacité scientifique au franchissement de la barrière
d’Avogadro vers 12 CH est donc extrêmement réducteur et dénote chez celui qui invoque
l’existence cette barrière une profonde ignorance de ce qu’est réellement l’homéopathie.
Une bonne théorie de l’action homéopathique doit non seulement résoudre le problème
soulevé par la barrière d’Avogadro mais également prendre en compte tous les aspects
précédemment énumérés. Pour être crédible, la théorie doit également se situer dans le
cadre de la science actuelle et non invoquer des lois qui seront découvertes dans le futur.
Juste avant sa mort, Jacques Benvéniste avait compris que la clé du puzzle se trouvait dans
les relations étroites qu’entretenaient l’eau et l’électromagnétisme. Comprendre la sensibilité
de l’eau aux champs électromagnétiques devait automatiquement résoudre le problème de
la barrière d’Avogadro. Par un clin d’œil assez amusant de l’histoire, il se trouve que la
réponse théorique à toutes les questions posées par l’homéopathie fut publiée la même
année [1] que l’article [2] qui allait obliger Jacques Benvéniste à mettre un terme définitif à
ses activités de recherches académiques. Très récemment, une version «open access»
moins technique prédisant l’existence de domaines de cohérences d’origine quantique
responsables de la structure spatio-temporelle de l’eau liquide a été publiée [3]. L’idée
consiste à traiter dans un même formalisme basé sur la théorie quantique de champs l’eau
et le rayonnement électromagnétique associé aux fluctuations de la densité de charge au
niveaux des liaisons hydrogène. Dans le cadre de ce couplage fort entre matière et
rayonnement, diluer la matière revient à concentrer le rayonnement dans le vide physique
aqueux, c’est à dire renforcer tout effet thérapeutique impliquant une fréquence de
résonance caractéristique. La barrière d’Avogadro ne s’appliquant ni rayonnement ni au
vide, l’objection classique des sceptiques de l’homéopathie n’a plus lieu d’être et il convient
donc de réhabiliter cette approche thérapeutique qui a fait depuis près de deux siècles les
preuves de son efficacité et de son faible coût pour la collectivité.
Références
[1] E. Del Giudice, G. Preparata & G. Vitiello, «Water as a free electric dipole laser», Phys.
Rev. Lett., 61 (1988) 1085-1088.
[2] E. Dayenas, F. Beauvais, J. Amara, M. Oberbaum, B. Robinzon, A. Miadonna, A.
Tedeschi, B. Pomeranz, P. Fortner, P. Belon, J. Sainte-Laudy, B. Poitevin & J. Benveniste,
«Human basophil degranulation triggered by very dilute antiserum against IgE», Nature, 333
(1988) 816-818.
[3] I. Bono, E. Del Giudice, L. Gamberale & M. Henry, «Emergence of the coherent structure
of liquid water», Water, 4 (2012) 510-532.
L'eau delà de l'eau - par Jacques Collin, auteur & conférencier - enregistrée en Mars 2013.
Une partie de l'enregistrement audio de cette conférence vous est proposé gratuitement sur Youtube.
La conférence est disponible en intégralité avec vidéo du conférencier et toutes les diapositives en téléchargeant la vidéo à seulement 7,99€ cliquez ici ou alors en location pour 1 semaine à seulement 1,99€ en cliquant ici
L'association Bioélectronique Vincent a invité Jacques Collin le 16 Mars 2013 lors de leur assemblée générale annuelle. Jacques Collin exprime lors de cette conférence une synthèse de son livre "L'eau delà de l'eau" en y ajoutant une grille de lecture originale avec la bioélétronique.
"Le livre, L'eau delà de l'eau met en lumière, à travers les nouvelles recherches actuelles, comment peut être extrait de cette eau, une énergie illimitée, gratuite et non polluante dont la production permettrait à l’humanité d’arrêter la catastrophe écologiqueactuelle. Mes recherches continuent actuellement sur les étonnantes facultés de l’eau de rétablir les terrains de santé et d’enregistrer toutes sortes d’informations très subtiles qui influencent le milieu cellulaire et « conscientisent » en quelque sorte la matière vivante.
Les dernières découvertes sur le temps et les ouvertures temporelles, par le ProfesseurJP GARNIER MALET démontrent scientifiquement que nous même et notre biologie vivent dans plusieurs temps simultanément et que ce principe vital était connu des anciens. L’eau de notre corps assure l’interface avec cette interdimensionalité. Le dernier ouvrage paru « L’Eau Delà de l’Eau » témoigne que l’homme peut retrouver sa puissance et son rôle de créateur dans l’univers et que finalement c’est dans ces dimensions infinies du temps qu’il retrouvera son unité originelle." Jacques Collin.
7 nov. 2013
"L'eau la médiatrice, interview intégrale de Yann Olivaux." (2009)
Yann Olivaux est biophysicien de formation. Auteur du livre de référence « La nature de l’eau » paru en 2007, conférencier, chercheur indépendant et fondateur du CriiEAU (Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur l’Eau), il explore depuis une vingtaine d’années les différentes facettes des « mondes de l’eau » : scientifique, économique, écologique, géopolitique, symbolique et sanitaire. Il s’intéresse notamment aux rapports fondamentaux et complexes entre l’eau et la santé, et plus précisément à la qualité des eaux alimentaires et leur impact sanitaire.
SON BLOG: http://www.lanaturedeleau.blogspot.fr/
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La nature de l’eau
L'eau est un élément qui présente de multiples facettes: bio-physico-chimiques
bien sûr mais aussi politiques, économiques, mythologiques, psychanalytiques,
poétiques...L'information disponible sur cet élément vital est disséminée dans
beaucoup d'ouvrages qui traitent parfois extrêmement bien un thème précis mais
occultent évidemment tous les autres aspects. Difficile de faire le tri et la part
des choses entre ce qui est à peu près certain et ce qui relève du pur fantasme
ou de l'escroquerie intellectuelle. Où se trouve la limite entre science et religion
lorsque l'on parle de l'eau? Est-il vrai que les guerres du
siècle auront pour moteur la maîtrise de l'eau et non celle de l'énergie? Que
trouve t-on exactement dans l'eau du robinet? Peut-on se fier aux arguments
publicitaires des embouteilleurs d'eau nous promettant santé et bonheur?
L'eau est-elle réellement le sang de la terre? Chaque livre déjà paru sur l'eau
permet d'apporter des éléments de réponse à ces questions fondamentales
pour l'avenir de l'humanité, mais aucun ne permet d'avoir une vision globale et
pluridisciplinaire du problème.
C'est l'aspect transdisciplinaire de cet ouvrage qui le distingue des autres.
L'auteur n'a fait aucune impasse et fait le point de manière complète et
synthétique sur tout ce qui touche à l'eau. Si l'ouvrage final est l'œuvre d'un
seul auteur, la matière de base a été fournie par de multiples interlocuteurs:
scientifiques, ingénieurs, médecins, vétérinaires, psychologues,
juristes, hommes politiques, journalistes, poètes, etc. C'est la toute première
fois qu'une telle démarche est entreprise et menée à son terme. Texte principal
faisant la synthèse de tous les points de vue et annexes où chacun peut
retrouver le discours original du spécialiste lambda, ce livre est destiné à celle ou
celui qui ne comprend pas pourquoi un liquide aussi banal agite autant d'esprits
dans autant de domaines. Mais aussi, il deviendra très vite un
ouvrage indispensable pour tous les décideurs préoccupés par la politique,
l'économie ou l'écologie, où celui qui réussit est celui qui perçoit les problèmes
dans leur globalité. Aucun autre livre sur l'eau ne leur permettra en quelques
heures de lecture d'avoir une vision claire de toutes les interconnexions existant
entre des domaines apparemment disjoints.
Enfin, ce livre fera le bonheur de ceux qui possèdent une bonne culture
scientifique car il fera voler en éclats toutes les cloisons mise en place par l'hyper
spécialisation de la science. Les psychologues, les psychanalystes et de manière
plus générale les philosophes et tous ceux qui s'intéressent à la spiritualité
associée à l'eau trouveront aussi dans ce livre des pistes de travail originales
puisque tout un chapitre est consacré aux aspects symboliques et mythologiques
liés à l'eau. Les médecins et nutritionnistes trouveront dans ce livre
toutes les informations qu'ils cherchent désespérément quant au statut exact de
l'eau dans la cellule et qui font actuellement cruellement défaut dans les manuels
de biologie moléculaire. Enfin, toutes les personnes soucieuses de la qualité de
leur eau de boisson pourront découvrir tous les appareillages ou pratiques qui
ont été inventés par l'être humain pour «dynamiser» l'eau. De telles informations
jusqu'à présent hautement confidentielles et entourées d'épais mystères sont ici
présentées pour la toute première fois en toute impartialité, avec adresse des
constructeurs et fiches techniques standardisées permettant de choisir en toute
connaissance de cause. Quand on sait que certains appareillages peuvent
coûter jusqu'à plusieurs milliers d'euros, l'achat de ce livre devient une véritable
assurance tout risque contre les escrocs de tout poil qui prolifèrent sur le marché
de l'eau dynamisée ou structurée. Que l'on souhaite lire tout ou partie de ce
livre, peu importe, car il s'agit d'un ouvrage de fond qui gagnera à être lu et relu
plusieurs fois. Il devrait aussi rassurer tous ceux qui sont angoissés par ce XXIe
siècle naissant qui verra sans nul doute possible un repositionnement majeur de
l'homme par rapport à l'eau.
Yann Olivaux
L'eau et notre santé - par Yann Olivaux, hydrosophe. - conférence enregistrée en octobre 2013.
Une partie de l'enregistrement audio de cette conférence vous est proposé gratuitement sur Youtube.
La conférence est disponible en intégralité avec vidéo du conférencier et toutes les diapositives en location pour 48h à seulement 3,90€ en cliquant ici
Les questions autour de la santé et de la qualité des eaux alimentaires sont aujourd’hui nombreuses et justifiées car ce liquide vital constitue « in fine » notre matière intime.
Les critères de potabilité sont-ils suffisants pour définir une eau bonne à boire ? Doit-on consommer une eau pure ou chargée en minéraux ? Que faut-il penser des nombreux systèmes de filtration et de dynamisation de l’eau existant sur le marché ? Quelles eaux boire ?
Répondre à ses interrogations n’est pas chose aisée pour deux raisons principales :
- L’eau est une substance complexe défiant encore les connaissances scientifiques,
- Les préconisations de consommation des eaux de boisson sont variées car elles font l’objet
d’âpres enjeux économiques.
Cette conférence propose donc d’apporter des éléments de réflexion clairs et accessibles sur les impacts sanitaires de l’eau que nous buvons quotidiennement.
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Yann Olivaux |
Cette conférence a été organisée par les associations « Mutations et Devenir des Territoires » et « Fleuve Loire Fertile » le samedi 19 Octobre 2013 dans le cadre d'une journée sur le thème de l'eau. Roger Durand, biochimiste, et Yann Olivaux, hydrosophe ont tenu des conférences sur différents aspect de l'eau.
À ne pas manquer sur EAU:Séance iLive! :




5 nov. 2013
FICHE: INFO N°1 - Le Chlore -
Concernant l'eau, il y a beaucoup d'info à connaitre pour notre quotidien, et souvent nous n'avons pas le courage de revoir une vidéo d'une conférence ou relire le livre où nous sommes tombés sur une information importante. Ces fiches info sont faites pour résumer de façon concise et simple toute information que l'on aurait besoin d'utiliser dans notre quotidien.
Dans la fiche N°1, il est question du chlore.
4 nov. 2013
La Science contemporaine et l'eau - par Roger Durand, biochimiste. - conférence enregistrée en octobre 2013
L'enregistrement audio de cette conférence vous est proposé gratuitement sur Youtube.
La vidéo du conférencier et toutes les diapositives sont proposées en VOD à prix libre.
Dans la conférence "La Science contemporaine et l'eau", Roger Durand retrace l'historique de la recherche de la Science sur l'eau de Lavoisier (considéré comme le père de la chimie) jusqu'à Benveniste.
Cette conférence a été organisée par les associations « Mutations et Devenir des Territoires » et « Fleuve Loire Fertile » le samedi 19 Octobre 2013 dans le cadre d'une journée sur le thème de l'eau. Roger Durand, biochimiste, et Yann Olivaux, hydrosophe ont tenu des conférences sur différents aspect de l'eau.
À ne pas manquer sur EAU:Séance iLive! :
"L'eau, c'est la vie" ou "l'eau, c'est H₂O"? Il faudra choisir...
« Genèse historique de la formule H2O/"EAU: Séance iLive!"/avec Marc Henry »
« Où l'on voit que l'eau n'est pas seulement H2O
»
L'eau n'est pas seulement H2O/ par "EAU: Séance iLive!" / avec Marc Henry
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